Oublier ses réflexes, adapter sa technique visuelle, changer son regard : tels sont les défis de Marion Dubier-Clark lors de ce road-trip au Japon. Inspirée du wabi sabi, cet art de la simplicité et des choses vieillissantes, elle photographie les fissures plutôt que les surfaces lisses.
Cette série photographique, plus abstraite que celles américaines, met en avant la complexité temporelle du Japon et l’effacement humain dans l’architecture.
« La beauté n’est que plus frappante et le présent plu intense lorsqu’ils portent en eux l’idée de leur disparition » Benoît Piquet